jeudi 30 mars 2023

Découvrez la méthode révolutionnaire pour éviter de travailler jusqu'à 64 ans !

Il est temps de dire adieu à la routine du travail. Assez de ces longues journées passées assis devant un ordinateur, à faire semblant d'être occupé. Assez de travailler jusqu'à 64 ans, alors que nos corps et nos esprits sont fatigués bien avant. Mais ne vous inquiétez pas, car j'ai une solution miraculeuse pour vous. J'ai découvert une méthode incroyable pour éviter de travailler jusqu'à 64 ans : l'hibernation.

Oui, vous avez bien lu. L'hibernation est la solution pour tous ceux qui en ont marre de travailler jusqu'à la retraite. Il vous suffit de trouver une grotte ou un endroit sombre et de vous y installer confortablement. Vous pouvez emporter votre couette préférée, un oreiller moelleux et des réserves de nourriture pour survivre tout l'hiver. Puis, vous vous endormez. Et vous ne vous réveillez que six mois plus tard, juste à temps pour le printemps.

Je sais que cela peut sembler trop beau pour être vrai, mais j'ai fait mes recherches et j'ai trouvé des exemples dans la nature. Les ours hibernent tous les hivers, sans souci pour leur retraite. Les écureuils font de même. Alors pourquoi pas nous, les humains ?

Je me suis entretenu avec un spécialiste en la matière, le professeur Jean-Marc Sommeil. Selon lui, l'hibernation est une pratique sûre et bénéfique pour la santé. "En dormant, le corps se régénère et se repose, ce qui permet de vivre plus longtemps", explique-t-il.

J'ai également interrogé des gens qui ont tenté l'expérience. Paul, un ancien travailleur fatigué, m'a raconté qu'il avait hiberné pendant six mois l'année dernière. "C'était la meilleure décision que j'ai jamais prise", dit-il. "Je suis arrivé au printemps, frais et dispos. Et j'ai eu tout l'été pour faire ce que je voulais."

Alors, si vous en avez marre de travailler jusqu'à 64 ans, pourquoi ne pas tenter l'aventure de l'hibernation ? Vous ne perdrez rien à essayer, et vous pourriez bien y gagner des années de vie sans travail.

mercredi 29 mars 2023

Le touriste qui adore les manifestations : immersion dans le tour de France des émeutes

La France est connue pour son art, sa gastronomie et ses monuments historiques. Mais il y a aussi une autre facette de ce pays qui attire des touristes du monde entier : les manifestations. C'est le cas de John, un Américain passionné par l'ambiance électrique des émeutes françaises. Il a décidé de faire un tour de France pour assister aux manifestations les plus violentes contre la réforme des retraites.

John lors d'une manifestation à Paris

John, 35 ans, n'a jamais participé à une manifestation, il préfère rester en retrait et observer le spectacle. "Je suis là pour l'adrénaline, pour sentir la tension dans l'air. C'est comme assister à un match de football, mais avec des gens en colère qui se battent pour leurs droits", explique-t-il.

Il est indéniable que l'esprit revanchard des Français est une des raisons pour lesquelles les manifestations sont si fréquentes dans ce pays. Depuis la Révolution française de 1789, le peuple a pris l'habitude de manifester pour défendre ses droits et ses libertés.

Le touriste passionné de manifestations est impressionné par l'héritage historique de la France et trouve fascinant de voir que les Français continuent de se battre pour leurs droits de nos jours.

C'est une des raisons pour lesquelles il s'est mis en tête de faire un tour de France des manifestations contre la réforme des retraites. Il veut voir comment les Français se battent aujourd'hui pour préserver leurs droits et leur mode de vie.

Sa première destination était Paris, où il a assisté à une manifestation qui a dégénéré en émeute. Il a été impressionné par la détermination des manifestants et par l'ambiance électrique qui régnait dans les rues. Les slogans, les chants et les pancartes l'ont particulièrement marqué. "C'était incroyable ! Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes, des canons à eau et des matraques. Les manifestants ont jeté des pavés, des bouteilles et des fumigènes. J'ai même vu des barricades en feu !", raconte John, encore sous le choc.

Il a ensuite pris le train pour aller à Marseille, où une autre manifestation a éclaté. Il a assisté à une manifestation colorée et festive, avec des groupes de musique qui jouaient dans les rues et des danseurs qui se joignaient aux manifestants. "Cette fois, c'était des dockers qui ont bloqué le port. Ils ont brûlé des pneus et des palettes. Les CRS ont essayé de les déloger, mais ils ont résisté. J'étais fasciné par leur détermination", dit-il.

Puis, direction Bordeaux, où une manifestation des étudiants sur les quais de la Garonne a été organisée. "C'était plus calme que les précédentes, mais j'ai vu des étudiants qui ont bloqué la circulation en dansant sur la chaussée. C'était génial !", s'enthousiasme John. Des centaines de personnes se sont rassemblées pour marcher pacifiquement contre la réforme des retraites. Le touriste a été touché par cette manifestation, qui lui a rappelé l'esprit de la Révolution française.

Pompiers déguisés en canards

Il a ensuite fait un détour par Toulouse, où une manifestation de pompiers déguisés en canards a eu lieu. "Je ne savais pas que les pompiers manifestaient aussi. Ils ont allumé des feux et ont arrosé les policiers avec leurs lances à incendie. C'était hilarant !", s'amuse-t-il.

A Lyon, il a été témoin d'une scène étrange : un groupe de manifestants portait des masques de loup-garou et hurlait à la lune pour dénoncer la réforme des retraites. Le touriste n'a pas compris le sens de cette manifestation, mais il a été captivé par l'énergie des manifestants.

Enfin, il est allé à Nice pour la dernière étape de son tour de France. "J'ai assisté à une manifestation des gilets jaunes sur la promenade des Anglais. C'était impressionnant de voir autant de monde dans les rues. Les CRS ont fait usage de gaz lacrymogènes et de grenades de désencerclement. Mais les manifestants ne se sont pas laissé faire. Ils ont scandé des slogans et ont chanté La Marseillaise. C'était émouvant", conclut-il.

Pour John, les manifestations en France sont un spectacle unique en son genre. "Je recommande à tous les touristes qui cherchent quelque chose de différent de faire un tour de France des émeutes. C'est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie", conseille-t-il.

Bien que certains pourraient qualifier John de voyeur, il n'en demeure pas moins que sa passion pour les manifestations est réelle. Au final, le touriste est revenu chez lui avec des images plein la tête et des souvenirs inoubliables. Il est persuadé que la culture des manifestations fait partie intégrante de l'âme française et qu'elle continuera à faire parler d'elle pendant de nombreuses années encore.

mardi 28 mars 2023

Paris en colère : la retraite à 64 ans, c'est le bordel !

Depuis l'annonce de la réforme des retraites, les rues de Paris sont devenues des zones de guerre où se déchaînent des manifestants enragés. Mais qui sont-ils vraiment ? Nous avons recueilli les témoignages de différents Parisiens.

Tout d'abord, Jean-Paul, ancien de mai 68, nous livre sa vision : "Ah, c'était le bon temps, ça ! On descendait dans la rue pour des idées, pas juste pour une question d'âge de départ à la retraite. Maintenant, les jeunes, ils sont là juste pour casser du flic et du riche, ça n'a plus aucun sens !"

Un propriétaire du 16ème arrondissement, qui souhaite rester anonyme, nous a aussi confié son ressenti : "C'est insupportable, ça sent le brûlé tous les jours ! Et puis, ils saccagent les vitrines des magasins, c'est inadmissible ! Moi, j'ai dû fermer ma boutique de luxe pendant plusieurs jours, j'ai perdu des clients, c'est un véritable cauchemar."

De l'autre côté de l'échelle sociale, nous avons également rencontré Max, un jeune punk qui participe aux manifestations : "On en a marre de travailler toute notre vie pour rien ! On veut partir plus tôt et profiter de la vie, même si c'est au détriment des patrons et des riches ! Et puis, casser des trucs, ça défoule !"

Enfin, nous avons croisé Camille, une femme enceinte qui galère pour circuler dans les rues jonchées d'immondices : "C'est vraiment dégoûtant, je me demande comment je vais pouvoir me balader avec mon bébé dans ces conditions. Les éboueurs devraient faire leur boulot, ça suffit !"

Mais au-delà de ces témoignages, des anecdotes loufoques circulent aussi dans les rues. Un manifestant a été arrêté en train de jeter des boules puantes, mais il avait oublié de retirer l'étiquette de prix qui indiquait qu'il les avait achetées chez Darty. Et un autre s'est fait mordre par son propre chien alors qu'il essayait de s'en servir pour attaquer la police.

Bref, Paris est en pleine ébullition, et la question de la retraite à 64 ans est loin d'être réglée. En attendant, mieux vaut éviter de se promener dans les rues de la capitale avec des vêtements blancs.

jeudi 23 mars 2023

1+1=2

Comment démontrer que 1 + 1 = 2 ?

Tout d'abord, il faut savoir que 1 est un nombre entier naturel non nul. Cela signifie qu'il existe un ensemble appelé N qui contient tous les nombres entiers naturels non nuls, et que 1 appartient à cet ensemble. On peut écrire cela sous la forme : 1 ∈ N.

Ensuite, il faut savoir que l'addition est une opération qui associe à deux nombres entiers naturels non nuls un autre nombre entier naturel non nul. On peut écrire cela sous la forme : ∀ a,b ∈ N, ∃ c ∈ N tel que a+b=c.

Maintenant, on va utiliser une propriété fondamentale de l'addition : la commutativité. Cela signifie que l'ordre des termes dans une addition ne change pas le résultat. On peut écrire cela sous la forme : ∀ a,b ∈ N, a+b=b+a.

Par exemple, si on prend les nombres 3 et 5, on a : 3+5=5+3=8. C'est assez intuitif, mais il faut le démontrer rigoureusement pour être sûr que c'est vrai pour tous les nombres entiers naturels non nuls.

Pour cela, on va utiliser le principe de récurrence. C'est une méthode qui permet de prouver qu'une propriété est vraie pour tous les nombres entiers naturels non nuls en partant d'un cas de base et en montrant qu'elle se transmet au cas suivant.

Le cas de base est le suivant : soit a un nombre entier naturel non nul quelconque. On veut montrer que a+1=1+a. Pour cela, on utilise la définition de l'addition : il existe c ∈ N tel que a+1=c. Mais comme 1 ∈ N aussi, il existe d ∈ N tel que 1+a=d. Donc on a deux nombres c et d tels que a+1=c et 1+a=d.

Or il se trouve qu'il y a un axiome très important en mathématiques qui dit que deux nombres entiers naturels non nuls sont égaux si et seulement s'ils ont les mêmes successeurs. Le successeur d'un nombre est le nombre qui vient juste après lui dans l'ordre croissant des nombres entiers naturels non nuls.

Par exemple, le successeur de 4 est 5, le successeur de 7 est 8, etc. On peut écrire cela sous la forme : ∀ x,y ∈ N, x=y ⇔ S(x)=S(y), où S désigne l'opération successeur.

Donc si on applique cet axiome aux nombres c et d tels que a+1=c et 1+a=d , on obtient :

a+1=1+a ⇔ S(a+1)=S(1+a)

Mais comme S(a+1) = (a+1)+1 = a+(1+1) par définition du successeur et de l'associativité de l'addition (une autre propriété fondamentale qui dit qu'on peut regrouper les termes comme on veut dans une addition), et comme S(1+a) = (1+a)+1 = (a+1)+...+(a+(a+(...))) par définition du successeur et de la distributivité de l'addition (une autre propriété fondamentale qui dit qu'on peut répartir les termes comme on veut dans une addition), on obtient :

S(a+1)=S(2+a)

Mais comme S(2+a) = (2+a)+2 = (a+(a+(...)))+2 par définition du successeur et de la commutativité de l'addition (qu'on vient juste de démontrer), on obtient :

S(a+(a+(...)))=S((a+(a+(...)))+2)

Et là vous vous demandez peut-être pourquoi je répète autant le terme "a" dans mes additions ? Eh bien je répète autant le terme "a" dans mes additions parce que je veux montrer que la propriété de commutativité de l'addition est vraie pour tous les nombres entiers naturels non nuls, et pas seulement pour 1. Donc je prends un nombre quelconque "a" et je le répète autant de fois que nécessaire pour obtenir le nombre que je veux.

Par exemple, si je veux obtenir le nombre 4, je peux écrire : a+(a+(a+a)) = (a+a)+(a+a) = 2+2 = 4. C'est une façon de construire les nombres entiers naturels non nuls à partir du nombre 1 et de l'opération successeur.

Mais revenons à notre démonstration. On a donc :

S(a+(a+(...)))=S((a+(a+(...)))+2)

Mais comme S((a+(a+(...)))+2) = ((a+(a+(...)))+2)+1 = (a+(a+(...)))+(2+1) par définition du successeur et de l'associativité de l'addition, et comme S(a+(a+(...))) = (a+(a+...+ (1+1) par définition du successeur et de la commutativité de l'addition (qu'on vient juste de démontrer), on obtient :

(a+(a+(...)))+(1+1)=(a+(2+1)

Et là vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai écrit 2+1 au lieu de 3 ? Eh bien c'est parce que je n'ai pas encore défini ce qu'est le nombre 3 ! En fait, le nombre 3 est juste un raccourci pour écrire a+a+a quand a=1. Donc on peut écrire :

(a+a+a)+(1+1)=(a+a+a)+3

Et voilà ! On a montré que a+1=1+a pour tout nombre entier naturel non nul a. C'était le cas de base de notre récurrence.

Maintenant il faut montrer que si la propriété est vraie pour un nombre entier naturel non nul a, alors elle est vraie pour son successeur S(a). C'est le pas de récurrence.

Soit donc a un nombre entier naturel non nul quelconque tel que a+b=b+a pour tout nombre entier naturel non nul b. On veut montrer que S(a)+b=b+S(a) pour tout nombre entier naturel non nul b.

Pour cela, on utilise encore la définition de l'addition : il existe c ∈ N tel que S(a)+b=c. Mais comme b ∈ N aussi, il existe d ∈ N tel que b+S(a)=d. Donc on a deux nombres c et d tels que S(a)+b=c et b+S(a)=d.

Or il se trouve qu'il y a toujours ce fameux axiome qui dit que deux nombres entiers naturels non nuls sont égaux si et seulement s'ils ont les mêmes successeurs. Donc si on applique cet axiome aux nombres c et d tels que S(a)+b=c et b+S(a)=d, on obtient :

S(a)+b=b+S(a) ⇔ S(S(a)+b)=S(b+S(a))

Mais comme S(S(a)+b) = S(b+S(a))+b par définition du successeur et de l'associativité de l'addition, et comme S(b+S(a)) = (b+S(a))+1.

Mais comme S(b+S(a)) = (b+S(a))+1 par définition du successeur, et comme S(a)+1 = 1+S(a) par hypothèse de récurrence (c'est le cas de base qu'on a déjà démontré), on obtient :

S(S(a)+b) = (b+(1+S(a)))+b

Mais comme b+(1+S(a)) = (1+S(a))+b par commutativité de l'addition (qu'on vient juste de démontrer), on obtient :

S(S(a)+b) = ((1+S(a))+b)+b

Mais comme ((1+S(a))+b)+b = (1+S(a))+(b+b) par associativité de l'addition (une autre propriété fondamentale qu'on a déjà utilisée), et comme S(b+b) = (b+b)+1 par définition du successeur, on obtient :

S(S(a)+b) = S((1+S(a))+b)

Et voilà ! On a montré que S(a)=a+S pour tout nombre entier naturel non nul a. C'était le pas de récurrence.

Donc on a bien prouvé que l'addition est commutative pour tous les nombres entiers naturels non nuls. C'est-à-dire que pour tout a,b ∈ N, a+b=b+a.

Et maintenant on peut enfin répondre à la question initiale : pourquoi 1+1=2 ?

Eh bien c'est parce que 2 est juste un raccourci pour écrire S(1), c'est-à-dire le successeur de 1. Donc on peut écrire :

1+1=S(1)

Mais comme on vient de démontrer que l'addition est commutative, on peut aussi écrire :

S(1)= 1+1

Donc on a bien :

S(1)= 2

Et donc :

2= 2

Ce qui prouve que 1+1=2.

lundi 20 mars 2023

Astérix et la Course autour du Monde

Depuis 1967, les aventures d’Astérix et Obélix ont été adaptées en quinze films d’animation et cinq films en prise de vues réelles, inspirés des bandes dessinées créées par René Goscinny et Albert Uderzo. Si certains de ces films ont connu un succès populaire et critique, comme Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, d’autres ont été accueillis avec déception ou indifférence, comme Astérix aux Jeux olympiques ou Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté. Il faut dire que la qualité des scénarios varie du génial au navrant, du fidèle à l’original au complètement décalé. Le dernier en date sur les irréductibles Gaulois : Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu, tire la qualité du scénario encore plus bas.

Alors voici un synopsis d'un possible prochain film, écrit par une Intelligence Artificielle, finalement, c'est pas pire... Préparez-vous à découvrir une nouvelle aventure rocambolesque, pleine de clichés et de gags éculés, qui risque de faire hurler les puristes et de lasser les amateurs.

Astérix et Obélix sont tranquillement installés dans leur village gaulois quand ils reçoivent la visite d’un messager romain qui leur apporte une lettre de César. Celui-ci leur lance un défi : faire le tour du monde en 80 jours avec un char tiré par Idéfix, le fidèle compagnon d’Obélix. S’ils réussissent, César leur promet de les laisser en paix et de leur offrir un cadeau de leur choix. S’ils échouent, ils devront se rendre à Rome et reconnaître la suprématie de l’empire romain.

Astérix et Obélix acceptent le défi sans hésiter, persuadés que rien ne peut les arrêter avec la potion magique du druide Panoramix. Ils partent donc avec Idéfix et une carte du monde fournie par César. Mais ils ne savent pas que le perfide Brutus, le fils adoptif de César, a truqué la carte pour les envoyer dans des endroits dangereux et lointains. Brutus espère ainsi se débarrasser d’Astérix et Obélix et prendre la place de son père sur le trône.

Ainsi commence une folle aventure qui va conduire nos héros à traverser des contrées inconnues et à rencontrer des peuples étonnants. Ils vont affronter des pirates, des bandits, des animaux sauvages, des tempêtes, des volcans, des glaces… Ils vont aussi se faire des amis comme les Phéniciens qui vont les aider à traverser la Méditerranée, les Indiens qui vont leur apprendre à monter à dos d’éléphant, les Chinois qui vont leur faire découvrir le thé et les pâtes, les Incas qui vont leur révéler le secret du chocolat…

Tout au long de leur périple, Astérix et Obélix vont être poursuivis par des espions envoyés par Brutus pour les ralentir ou les éliminer. Mais ils vont aussi bénéficier de l’aide de quelques Gaulois expatriés qui vont leur donner des conseils ou des raccourcis. Et surtout, ils vont pouvoir compter sur Idéfix qui va se révéler être un véritable champion de course.

Astérix et Obélix vont-ils réussir à faire le tour du monde en 80 jours ? Vont-ils déjouer les pièges de Brutus ? Quel cadeau vont-ils demander à César s’ils gagnent ? Vous le saurez en regardant Astérix et la Course autour du Monde !

Voici quelques situations que devront affronter nos héros:

Astérix et Obélix se retrouvent au milieu d’une course de chars à Rome. Ils doivent éviter les concurrents qui veulent les écraser et les spectateurs qui les prennent pour des gladiateurs. Ils profitent de la potion magique pour semer la pagaille et s’échapper par une porte dérobée.

Astérix et Obélix arrivent en Égypte où ils sont pris pour des envoyés des dieux. Ils sont accueillis par Cléopâtre qui leur propose de visiter sa pyramide. Mais ils se perdent dans le labyrinthe de couloirs et de pièges. Ils doivent affronter des momies, des scorpions, des crocodiles… Heureusement, Idéfix trouve la sortie grâce à son flair.

Astérix et Obélix font escale en Inde où ils sont invités à participer à une fête en l’honneur du dieu Ganesh. Ils sont déguisés en éléphants et doivent défiler dans la rue. Mais ils se retrouvent au milieu d’une révolte contre le maharadjah qui opprime le peuple. Ils utilisent leur force pour renverser le tyran et libérer les prisonniers.

Astérix et Obélix atteignent la Chine où ils sont accueillis par un sage qui leur apprend les secrets du kung-fu. Ils s’initient aux arts martiaux et aux techniques de méditation. Mais ils sont attaqués par des ninjas envoyés par Brutus pour les assassiner. Ils se défendent avec leurs poings, leurs pieds, leurs casques… Et aussi avec Idéfix qui mord les ennemis.

Astérix et Obélix arrivent au Pérou où ils découvrent la cité perdue des Incas. Ils sont fascinés par la richesse et la beauté du lieu. Mais ils sont capturés par le grand prêtre qui veut les sacrifier au soleil. Ils réussissent à s’évader grâce à un coup de chance : le soleil se cache derrière un nuage au moment fatidique.